Escape Game Chateau de bran
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 Prochainement  la nouvelle  Salle Escape Game: 

Le Château de Bran.

8 novembre 1875, travaillant pour le London Post, vous enquêtez en Europe de l’est car d’étranges disparitions ont eu lieu.
Franchissant le col de Borgo sous une pluie battante, les chevaux de votre attelage s’emballent, pourchassés par une meute de loups.
Au terme d’une longue poursuite, vous arrivez dans la cour d’un sinistre château.

Vous vous précipitez à l’intérieur… L’ambiance et les décors vous mettront en immersion totale dans l’univers macabre du célèbre comte de Transylvanie !

 

Genèse de Dracula:

  • Bram Stoker a rédigé son roman en pleine horreur médiatique suscitée par son contemporain Jack l’Éventreur, qui sévit à Londresen 1888.
  • Le nom du comte Dracula est calqué sur le surnom de deux voïvodes de Valachie du xve siècle : Vlad Țepeș et son père Dracul, le « Dragon », ainsi appelé parce qu’il était membre de l’Ordre du Dragon ; Vlad Țepeș fut qualifié dans certains libelles, publiés par ses ennemis, de Draculea : le « Dragonneau ». Dracul ne fut d’ailleurs pas le surnom du seul Vlad, mais aussi celui d’un autre voïvode plus tardif : Mihail Ier Șuțu (1730 – 1803, règne de 1783 à 1795). La vie de ces voïvodes valaques est décrite par des sources hostiles comme Histoires de la Moldavie et de la Valachie de Johann Christian Engel, publié au début du xixe siècle, qui les présente comme des tyrans sanguinaires, s’appuyant, gravures effrayantes à l’appui, sur les libelles de leurs ennemis. Bram Stoker a pu y avoir accès soit directement en librairie ou en bibliothèque, soit par les articles d’Ármin Vámbéry, professeur à l’université de Budapest que le Dr Abraham Van Helsing (personnage du roman) cite comme ami et source de renseignements sous le nom d’Arminius Vambery.
  • Stoker a pu aussi avoir en mains l’une des nombreuses nouvelles du xixesiècle inspirées par la Tragica historia de László Turóczi, un jésuite de 1729, relatant les supposées frasques sanglantes de la comtesse Élisabeth Báthory (dans l’actuelle Slovaquie).
  • Le romancier évoque aussi une princesse-vampire nommée Lénore, qui, selon un reportage de Klaus Steindldiffusé sur la chaîne franco-allemande Arte, aurait pu être inspirée par les légendes entourant Éléonore-Amélie de Lobkowicz.
  • Puisqu’il place dans la bouche des paysans roumains des mots tels que « vrolok » et « vlkoslak », il semble que Stoker a lu les ouvrages d’Emily Gerardsur le folklore de Transylvanie, où elle décrit les « vrykolakas » (ou « vârcolac » : mort-vivant en roumain). Outre l’orthographe approximative, Bram Stoker répète une erreur d’Emily Gerard : Nosferatu, écrivent-ils, signifierait « vampire » ou « non mort » en roumain, or dans cette langue, vampire se dit vampir et non-mort : strigoi (qui a la même étymologie que « stryge ») ; quant à Nosferatu dont la forme roumaine est nesuferitu (littéralement « l’insupportable ») il désigne « l’innommable », le démon

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